Nos communiqués
LA BIO ABANDONNEE PAR LE GOUVERNEMENT ET LES SYNDICATS MAJORITAIRES
Paris, le 02/02/2024. Alors que les barrages sont en train d’être levés suite aux annonces de Gabriel Attal les agriculteurs et agricultrices bio se sentent les grands laissés pour compte de la négociation. Si la demande d’un plan d’urgence bio figurait bien dans les revendications, les bios n’ont pas été défendus à hauteur de leurs pertes réelles.
MANIFESTATIONS AGRICOLES : LA FNAB APPELLE A UNE INTERSYNDICALE EN DEFENSE DE LA BIO
Paris, le 30/01/2024. Depuis la hausse des prix, les labels de qualité sont les premiers à pâtir des arbitrages financiers des ménages sur l’alimentation. La Bio en a lourdement fait les frais ces deux dernières années, le marché s’est rétracté, les prix payés aux producteurs bio ont chuté et leur revenu avec . En 2023, seulement 4 000 fermes biologiques ont pu être soutenues sur les 60 000 fermes bio françaises, en raison d’une enveloppe financière mobilisée insuffisante par rapport à l’ampleur de la crise.
833 € PAR FERME, MONSIEUR LE PREMIER MINISTRE, LA BIO NE VOUS DIT PAS MERCI
833 € par ferme bio, Monsieur le Premier Ministre, la Bio ne vous dit pas merci Paris, le 27/01/2024. Alors que les acteurs des filières biologiques ont chiffré les pertes à
LA SOCIETE NE PEUT DEMANDER AUX AGRICULTEURS DE FINANCER LA TRANSITION
La société ne peut pas demander aux agriculteurs de financer la transition écologique Paris, le 26/01/2024. Sur le terrain la colère agricole se maintient. Les inquiétudes sur le revenu et le
COLERE AGRICOLE : LA BIO N’EST PAS EPARGNEE !
Paris, le 24/01/2024. La colère qui monte ces derniers jours dans le monde rural est le symptôme d’un malaise profond de la profession agricole. Quel que soit le modèle de production choisi aujourd’hui, intensif ou vertueux, le revenu des agriculteurs continue de se dégrader. Et l’agriculture biologique n’échappe pas à cette situation. Perte de l’aide au maintien en 2017, baisse des aides environnementales avec la nouvelle PAC, écroulement des prix payés aux producteurs par le marché depuis deux ans. La situation sur le terrain devient intenable et elle risque d’entraîner un recul du modèle biologique. La FNAB appelle à une revalorisation urgente du revenu agricole biologique, à la hauteur des services rendus.
TRI DES DÉCHETS ORGANIQUES, UNE OPPORTUNITÉ POUR L’AGRICULTURE BIOLOGIQUE
Depuis le 1er janvier 2024, les collectivités ont l’obligation de proposer aux ménages une solution pour trier leurs déchets organiques. Aujourd’hui, en France, l’essentiel de ces déchets organiques est enfoui ou incinéré alors qu’ils pourraient contribuer à enrichir les sols agricoles.
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Émilie Poinsot
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